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24/02/2014


La Fondation pour la liberté de la presse-FLIP- a présenté ce 11 Février son rapport annuel sur les conditions et les garanties pour les journalistes et la pratique de la liberté de la presse dans le pays. Le thème sous-jacent du rapport est l'absence de garanties pour la couverture des mobilisations sociales en Colombie, outre le rôle de la liberté de la presse dans les pourparlers de paix à La Havane.

Pedro Vaca, directeur exécutif de la FLIP a parlé avec Colombia Informa des attaques sur les journalistes en Colombie et ceux qui sont les auteurs, en plus de dresser le portrait du contexte ambiant pour la liberté d'expression et de presse dans le cadre du conflit armé. Le rapport intitulé «Mobilisations: aucune garantie pour les journalistes" adresse se grandes questions telles que la liberté de la presse et la paix, les mécanismes de censure sur Internet,  ainsi que quelques cas specifiques des journalistes tués et recommandations aux organismes de l'État chargé d'assurer les droits développement du journalisme.

Le rapport recense 123 cas d'agression de journalistes qui ont laissé 194 victimes en 2013. Parmi ceux-ci, deux étaient des meurtres au le mois de Septembre, le journaliste Edinson Molina à Puerto Berrio, Antioquia, et  Jose Dario Arenas dans Caicedonia -Valle del Cauca -.

La FLIP a déclaré: «La plupart des attaques ont eu lieu lors de couverture médiatique des manifestations prolongées que le pays a connu en 2013, principalement par l'obstruction du travail des journalistes. Au total, 44 journalistes ont été touchés au cours des manifestations. "Lors de ces événements, poursuit le rapport, 24 attaques qui ont causé 44 victimes dont 33 sont la responsabilité directe des forces publiques.

Le rapport complet est disponible sur le site Web de la FLIP.

Voici l'entrevue ( en español) faite au Directeur Executif de l'organisation, Pedro Vaca.
 

Auteur.trice
Colombiainforma.info