Avis d'expulsion pour des familles de Caracoli au Curvaradó
Mercredi le 11 juin à 11h, en réunion avec le gouvernement national pour le suivi des mesures provisoires concernant le Jiguamiandó et le Curvaradó, il a été su que la police d'Urabá était en train de préparer l'expulsion des femmes, hommes et enfants de la Zone humanitaire Caracolí, dans le territoire du Curvaradó, sous l'ordonnance de la juge de la municipalité de Riosucio, Chocó Les habitants de la Zone humanitaire de Caracolí ont été dépossédés violemment de leurs terres par une opération paramilitaire en août 1997. En août 2007, en tant que propriétaires légitimes et légaux, 27 familles sont retournées sur les terres, parmi elles 44 enfants et 4 aînéEs. Durant les dix années du déplacement forcé, la compagnie La Tukeka, de la famille ARGOTE, a occupé les terres. Aujourd'hui, par l'action de la juge, la dépossession se légalise. La décision de la juge suit le jugement du tribunal supérieur du district de Quibdó qui, le 20 mai dernier, a nié le droit invoqué dans l'action de tutelle. Avec la tutelle, on argumentait que les terres où se trouve la communauté de Caracolí appartiennent au territoire collectif du Curvaradó, conformément aux vérifications faites en juin 2008 et le 17 février 2009, et aux résolutions 2424 de 2007 de l'Institut colombien de développement rural – INCODER, dans lesquelles on reconnaît l'appartenance de Caracoli au territoire collectif du Curvaradó. Cette absurdité judiciaire a été décidée par la juge considérant seulement les arguments contre le droit présentés par les occupants de mauvaise foi, la famille Argote, actionnaires et propriétaires de la compagnie La Tukeka. La juge de Riosucio, en ordonnant l'expulsion, protège une occupation illégale sur un titre collectif communautaire et ignore les éléments de preuves notoires et déterminants. Ainsi, des droits fondamentaux protégés par la constitution colombienne sont violés (régularité de la procédure, vie, dignité, travail et minimum vital de vie, territoire), générant un nouveau déplacement forcé et un préjudice qui ne pourra pas être réparé. De manière répétée, la communauté de Caracolí a été l'objet d'agressions de la part des occupants de la compagnie La Tukeka, appartenant à Claudia et Antonio Argote.
Pour lire le rapport complet en espagnol : Comisión Intereclesial de Justicia y Paz Leer constancia en: http://www.justiciaypazcolombia.com/Ordenan-desalojo-de-familias-de,1214
AIDEZ-NOUS À EMPÊCHER L'EXPULSION DES FAMILLES DE LA COMMUNAUTÉ DE CARACOLI DE LEUR VILLAGE!!!
Montréal, 15 de junio del 2009 Doctores Francisco Santos Vicepresidente de la républica Carlos Franco Programa presidencial de derechos humanos y derecho internacional humanitario Carrera 8 # 7-57 Bogotá Teléfono: 4442120 - 334 50 77 correo:carlosfranco@presidencia.gov.co Ref : Preocupación antes la orden de desalojo de las familias de la zona humanitaria de Caracolí, territorio colectivo de Curvaradó. La Jueza de Riosucio, departamento de Chocó ordenó un desalojo para el próximo 18 de junio contra las familias de la zona humanitaria el Caracolí. Estas 27 que familias fueron despojados violentamente de sus tierras por operaciones paramilitares en agosto de 1997, retornaron a su tierra en agosto del 2007 en su calidad de legitimos y legales propietarios. La resolución de 2424, de 2007 expedida por el INCODER confirmó que las tierras de Caracolí hacen parte del territorio colectivo del Curvaradó. Durante sus 10 años que duró el desplazamiento forzoso, la empresa La Tukeka, de la familia ARGOTE ocupó de mala fe las propiedades. En consecuencia, la juez de Riosucio al ordenar el desalojo, protege una ocupación ilegal sobre un predio colectivo comunitario y desconoce elementos de prueba. Así se violan derechos fundamentales (debido proceso, vida, dignidad, trabajo y mínimo vital básico, territorio) protegidos por la constitución, generando un nuevo desplazamiento forzado y un perjuicio que no podrá ser remediado.la actuación de la juez se legaliza el despojo. Por estas razones les solicitamos respectuosamente, que soliciten a la policía nacional no ejecutar la orden de la juez promiscua municipal de Riosucio de desalojar a los legítimos propietarios de los territorios de caracolí, a favor de los ocupantes de mala fe, Claudia Argote y Antonio Argote. Les agradecemos de antemano la atención a la presente acción urgente y solicitamos estar informados de las gestiones que su oficina entreprenda al respecto. Atentamente, SIGNER ICI
Mercredi le 11 juin à 11h, en réunion avec le gouvernement national pour le suivi des mesures provisoires concernant le Jiguamiandó et le Curvaradó, il a été su que la police d'Urabá était en train de préparer l'expulsion des femmes, hommes et enfants de la Zone humanitaire Caracolí, dans le territoire du Curvaradó, sous l'ordonnance de la juge de la municipalité de Riosucio, Chocó Les habitants de la Zone humanitaire de Caracolí ont été dépossédés violemment de leurs terres par une opération paramilitaire en août 1997. En août 2007, en tant que propriétaires légitimes et légaux, 27 familles sont retournées sur les terres, parmi elles 44 enfants et 4 aînéEs. Durant les dix années du déplacement forcé, la compagnie La Tukeka, de la famille ARGOTE, a occupé les terres. Aujourd'hui, par l'action de la juge, la dépossession se légalise. La décision de la juge suit le jugement du tribunal supérieur du district de Quibdó qui, le 20 mai dernier, a nié le droit invoqué dans l'action de tutelle. Avec la tutelle, on argumentait que les terres où se trouve la communauté de Caracolí appartiennent au territoire collectif du Curvaradó, conformément aux vérifications faites en juin 2008 et le 17 février 2009, et aux résolutions 2424 de 2007 de l'Institut colombien de développement rural – INCODER, dans lesquelles on reconnaît l'appartenance de Caracoli au territoire collectif du Curvaradó. Cette absurdité judiciaire a été décidée par la juge considérant seulement les arguments contre le droit présentés par les occupants de mauvaise foi, la famille Argote, actionnaires et propriétaires de la compagnie La Tukeka. La juge de Riosucio, en ordonnant l'expulsion, protège une occupation illégale sur un titre collectif communautaire et ignore les éléments de preuves notoires et déterminants. Ainsi, des droits fondamentaux protégés par la constitution colombienne sont violés (régularité de la procédure, vie, dignité, travail et minimum vital de vie, territoire), générant un nouveau déplacement forcé et un préjudice qui ne pourra pas être réparé. De manière répétée, la communauté de Caracolí a été l'objet d'agressions de la part des occupants de la compagnie La Tukeka, appartenant à Claudia et Antonio Argote.
Nous sollicitons:
1. Communiquer avec la présidente du Conseil supérieur de la magistrature Dra. María Mercedes López, pour lui demander une enquête disciplinaire sur l'action de la juge Ercilia González Moreno de la municipalité de Riosucio. Calle 12 no 7-65 Bogotá Teléfono:.(00571) (00571) 5659099-5658600 Correo: carolinagironc@yahoo.es 2. Comuniquer avec le Vice-président de la Colombie Dr. Francisco Santos et avec le directeur du Programme présidentiel de droits humains et droit international humanitaire Dr. Carlos Franco, leur demandant d’intervenir auprès de la police nationale afin de leur exiger de ne pas exécuter l'ordre de la juge de Riosucio d'expulser les légitimes propriétaires des terres de Caracolí. Carrera 8 # 7-57 Bogotá Teléfono: 4442120 - 334 50 77 correo:carlosfranco@presidencia.gov.co;cefaro@presidencia.gov.coPour lire le rapport complet en espagnol : Comisión Intereclesial de Justicia y Paz Leer constancia en: http://www.justiciaypazcolombia.com/Ordenan-desalojo-de-familias-de,1214
AIDEZ-NOUS À EMPÊCHER L'EXPULSION DES FAMILLES DE LA COMMUNAUTÉ DE CARACOLI DE LEUR VILLAGE!!!
DEUX MODÈLES DE LETTRE À ENVOYER
Montréal, 15 de junio del 2009 Doctora María Mercedes López Consejo Superior de la Judicatura Calle 12 no 7-65 Bogotá Teléfono:.(00571) 565 8500 No 6 Correo: carolinagironc@yahoo.es Ref : Preocupación ante la orden de desalojo de las familias de la Zona Humanitaria de Caracolí, territorio colectivo de Curvaradó. La Jueza promiscua de Riosucio, Dr Ercilia González Moreno, departamento de Chocó, ordenó un desalojo para el próximo 18 de junio contra las familias de la zona humanitaria el Caracolí. Estas 27 que familias fueron despojados violentamente de sus tierras por operaciones paramilitares en agosto de 1997, retornaron a su tierra en agosto del 2007 en su calidad de legitimos y legales propietarios. La resolución de 2424, de 2007 expedida por el INCODER confirmó que las tierras de Caracolí hacen parte del territorio colectivo del Curvaradó. Durante sus 10 años que duró el desplazamiento forzoso, la empresa La Tukeka, de la familia ARGOTE ocupó de mala fe las propiedades. En consecuencia, la juez de Riosucio al ordenar el desalojo, protege una ocupación ilegal sobre un predio colectivo comunitario y desconoce elementos de prueba. Así se violan derechos fundamentales (debido proceso, vida, dignidad, trabajo y mínimo vital básico, territorio) protegidos por la constitución, generando un nuevo desplazamiento forzado y un perjuicio que no podrá ser remediado.la actuación de la juez se legaliza el despojo. Por estas razones le solicitamos respectuosamente, Doctora López, que inicie las gestiones necesarias para que la sala disciplinaria investigue la actuación de la jueza promiscua municipal de Riosucio. Le agradecemos de antemano la atención a la presente acción urgente y solicitamos estar informados de las gestiones que su oficina entreprenda al respecto. Atentamente, SIGNER ICIMontréal, 15 de junio del 2009 Doctores Francisco Santos Vicepresidente de la républica Carlos Franco Programa presidencial de derechos humanos y derecho internacional humanitario Carrera 8 # 7-57 Bogotá Teléfono: 4442120 - 334 50 77 correo:carlosfranco@presidencia.gov.co Ref : Preocupación antes la orden de desalojo de las familias de la zona humanitaria de Caracolí, territorio colectivo de Curvaradó. La Jueza de Riosucio, departamento de Chocó ordenó un desalojo para el próximo 18 de junio contra las familias de la zona humanitaria el Caracolí. Estas 27 que familias fueron despojados violentamente de sus tierras por operaciones paramilitares en agosto de 1997, retornaron a su tierra en agosto del 2007 en su calidad de legitimos y legales propietarios. La resolución de 2424, de 2007 expedida por el INCODER confirmó que las tierras de Caracolí hacen parte del territorio colectivo del Curvaradó. Durante sus 10 años que duró el desplazamiento forzoso, la empresa La Tukeka, de la familia ARGOTE ocupó de mala fe las propiedades. En consecuencia, la juez de Riosucio al ordenar el desalojo, protege una ocupación ilegal sobre un predio colectivo comunitario y desconoce elementos de prueba. Así se violan derechos fundamentales (debido proceso, vida, dignidad, trabajo y mínimo vital básico, territorio) protegidos por la constitución, generando un nuevo desplazamiento forzado y un perjuicio que no podrá ser remediado.la actuación de la juez se legaliza el despojo. Por estas razones les solicitamos respectuosamente, que soliciten a la policía nacional no ejecutar la orden de la juez promiscua municipal de Riosucio de desalojar a los legítimos propietarios de los territorios de caracolí, a favor de los ocupantes de mala fe, Claudia Argote y Antonio Argote. Les agradecemos de antemano la atención a la presente acción urgente y solicitamos estar informados de las gestiones que su oficina entreprenda al respecto. Atentamente, SIGNER ICI
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