Ce bulletin comprend une version électronique (ci-dessous) mais également une version PDF (4 pages) que nous vous invitons à imprimer pour distribuer dans vos milieux de travail. Nous vous encourageons également à inviter vos collègues et allié.es à s'inscrire à cette liste de diffusion pour recevoir le bulletin sur une base régulière ainsi que les demandes d'« actions urgentes » par lesquelles le PASC sollicite des endossements pour communiquer officiellement avec l'ambassade canadienne en Colombie lorsque surviennent des violations aux droits humains imputables aux agissements des compagnies canadiennes.
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 Eco Oro a déclaré son intention de poursuivre la Colombie à travers le chapitre sur l'investissement de l'Accord de libre-échange entre le Canada et la Colombie face aux mesures que l'État andin a prises pour protéger Santurbán et le reste des páramos du pays, des activités nuisibles telles que l'exploitation minière à grande échelle.
 Eco Oro a déclaré son intention de poursuivre la Colombie à travers le chapitre sur l'investissement de l'Accord de libre-échange entre le Canada et la Colombie face aux mesures que l'État andin a prises pour protéger Santurbán et le reste des páramos du pays, des activités nuisibles telles que l'exploitation minière à grande échelle. Catalys Capital, une firme canadienne a accepté d’assumer la dette de la pétrolière pour un montant de 5,300 millions et d’apporter 50 millions de dollars en liquidité pour permettre à Pacific E&P de continuer ses activités. Malgré cet accord, l’avenir de Pacific E&P reste incertain. À partir du premier juillet 2016, celle-ci n’aura plus le contrôle de Campo Rubiales, le plus grand champ pétrolier de la Colombie qui a fait la fortune de Pacific E&P.
 Catalys Capital, une firme canadienne a accepté d’assumer la dette de la pétrolière pour un montant de 5,300 millions et d’apporter 50 millions de dollars en liquidité pour permettre à Pacific E&P de continuer ses activités. Malgré cet accord, l’avenir de Pacific E&P reste incertain. À partir du premier juillet 2016, celle-ci n’aura plus le contrôle de Campo Rubiales, le plus grand champ pétrolier de la Colombie qui a fait la fortune de Pacific E&P. 
 
 
            
        
         
            
        
        