Aller au contenu principal

ERA UN SUEÑO Y SE HIZO REALIDAD : Des paysanNEs victimes de déplacements internes forcés ont unis leurs espoirs autour du projet de récupération de leurs terres, décidant de s'organiser en une Zone Humanitaire dans la région du Curvaradó.

Lire la suite

Agences internationales de développement et secteur privé à l'assaut de la Colombie Fait troublant : tandis que les mégas-projets de développement qui devraient miraculeusement sortir les économies du sud de la torpeur pullulent, les conditions de vie des populations ne font qu'empirer, et les violations de droits humains augmenter. Prenons l'exemple d'un secteur cher au Canada : les mines.

Lire la suite

C’est avec un peu de recul qu’il est possible de voir à la lumière du jour, le sens réel de l'appui de Uribe à l’industrie de la palme. Ainsi, lorsque l’occasion se présente, ce sens caché commence peu à peu à émerger dans toute sa netteté. Il devient possible, par le fait même, de comprendre la raison d’être de lois comme la loi 30 de développement rural qui flexibilise, voire nie, les droits territoriaux conquis, affirmés par les peuples et communautés afrocolombiennes et métis.

Lire la suite

Contexte Rappelons que depuis le 8 avril 2006, les familles du Curvaradó accompagnées par Justicia y Paz et le PASC bâtissent une nouvelle Zone Humanitaire sur la terre appartenant à Don Enrique Petro, membre du Territoire Collectif du Curvaradó. Une terre qui avait été illégalement ensemencée de palme africaine depuis les déplacements forcés dans cette région. Rappelons également que ce fait n’est plus en litige, le gouvernement colombien ayant reconnu (dans une lettre de réponse à une action urgente) que cette terre était bien légitimement et légalement la sienne.

Lire la suite

Le retour du silence… de la dignité. Zone Humanitaire de El Tesoro, Curvaradó Rencontre entre accompagéEs et accompagnantEs, le premier jour du Regresso (Retour) Depuis très tôt l’anxiété envahissait l’âme, il fût impossible de dormir. C’était le 1er octobre, le jour où se concrétisait l’espoir d’un retour. Après 13 délocalisations, la première en 1996, la seconde en 1997, la troisième en 2001 y les suivantes entre 2003 et 2004, les jambes étaient prêtes à marcher, les dos prêts à transporter. La nuit s’est passée sans que les yeux se ferment.

Lire la suite

Derrière l'expression "profiteurs" se pose la question de l'identité de ceux et celles pour qui la guerre est un trafic ainsi que leurs motivations et objectifs. Les profiteurs de guerre ne sont pas seulement ceux qui profitent du commerce des armes. Nous les retrouvons également parmi celles et ceux qui poussent à la guerre et qui élaborent une stratégie réfléchie pour en tirer des bénéfices.

Lire la suite

  Pour les balles, le désarmement...  20 000 hommes sans armes apportés par la paix, mais ils ne parleront jamais des plans de sécurité militaire et policier. Pour la faim, des projets agro-industriels, mais jamais ils ne diront que la terre est celle des 3 millions de déplacés. La première initiative disait: Vérité, justice et réparation. D’abord, la vérité a disparu. Et maintenant, ni justice ni réparation....bienvenue au futur, à l’État de fait, à la démocratie sans pain, sans terre, sans liberté.

Lire la suite

Rappelons que depuis le 8 avril 2006 les familles du Curvarado accompagnées par Justicia y Paz et le PASC bâtissent une nouvelle Zone Humanitaire sur une terre appartenant à Don Enrique Petro membre du territoire collectif du Curvarado. Une terre qui avaient été illégalement ensemencé de palme depuis le déplacement forcé.

Lire la suite