Agression physique contre un avocat du Cajar
Nous dénonçons l'agression physique contre l'avocat du Cajar, Santiago Salinas Miranda, et le harcèlement contre les membres notre organisation de défense des droits humains.
Nous dénonçons l'agression physique contre l'avocat du Cajar, Santiago Salinas Miranda, et le harcèlement contre les membres notre organisation de défense des droits humains.
Le PASC est actif dans les luttes contre les détentions et en solidarité avec les prisonniers et prisonnières politiques.
En Colombie, nous collaborons avec l’Equipo Jurídico Pueblos et le Comité de Solidaridad con Presos Políticos. Nous diffusons des informations sur la situation des prisons et les conditions précaires dans lesquelles se retrouvent les prisonnier-ères.
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Les prisonniers et prisonnières politiques sont emprisonné-e-s sur la base de leurs positions politiques et/ou de leurs actions de confrontation aux politiques de l'État.
Le PASC est actif dans les luttes contre les détentions et en solidarité avec les prisonniers et prisonnières politiques.
En Colombie, nous collaborons avec l’Equipo Jurídico Pueblos et le Comité de Solidaridad con Presos Políticos. Nous diffusons des informations sur la situation des prisons et les conditions précaires dans lesquelles se retrouvent les prisonnier-ères.
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Les prisonniers et prisonnières politiques sont emprisonné-e-s sur la base de leurs positions politiques et/ou de leurs actions de confrontation aux politiques de l'État.
Qui sont les prisonnier.es politiques ?
Il y a au moins trois catégories différentes des prisonnier.es politiques: (1) les personnes criminalisées par l’État parce que appartiennent au mouvement social (leaders sociaux ou défenseurs des droits humains); (2) les personnes criminalisées par l’État parce que habitent de régions et quartiers pauvres et sous influence des acteurs armés et (3) les personnes qui appartiennent aux groupes de guérilla.
La loi de sécurité citoyenne, ou loi 2197 de 2022, signée le 25 janvier par Iván Duque et son cabinet, est présentée comme la solution toute désignée pour lutter contre l'impunité des auteurs de délits et, en même temps, comme un outil efficace pour appliquer la justice. « Quien la hace, la paga » (qui le fait, le paie), répète sans cesse le gouvernement.
Le Congrès des Peuples envoie un affectueux message de soutien à Erika Isabel Prieto Jaime qui fait face à la persécution de la part du bureau du procureur général, qui menace désormais son nom, son intégrité et sa présomption d'innocence.
La grave situation de violation des droits de l'homme qui se vit en Colombie depuis le 28 avril, en pleine grève nationale, a été préméditée, promue et légitimée par le gouvernement pro-Uribe d'Iván Duque. En effet, l’Etat et les médias ont stigmatisé et fomenté une haine contre les personnes qui manifestent contre les mesures insensées que le régime prend envers les plus humbles bien que nous soyons en pleine pandémie.
30 avr, CI.- Les mobilisations qui ont lieu depuis mercredi à Cali, capitale du Valle del Cauca, ont été brutalement réprimées par les forces publiques. Ce soir, les organisations de défense des droits humains de la région ont appelé à une conférence de presse urgente en raison de la situation complexe des droits humains qui s'est présentée lors des manifestations de la journée d'aujourd'hui.
Entre le 15 et le 16 décembre dernier, trois personnes très impliquées dans les mouvements sociaux en Colombie (qu’on nomme leaders sociaux quand on traduit de l’espagnol) ont été arrêtées: Adelso Gallo, Teofilo Acuña et Robert Daza. Ces arrestations, qui font partie d’un processus systémique de criminalisation envers les personnes qui s’opposent au système et défendent les droits humains et sociaux, se sont déroulées quelques jours à peine après la sortie de prison de Julian Gil (suite à plus de 900 jours d’incarcération encore pour des motifs arbitraires).