“Nous subissons un déplacement forcé à cause des opérations de l’entreprise Muriel Mining et de la militarisation subie sur notre réserve et sur nos sites sacrés, et nous seront dans cette situation jusqu’à ce que cesse l’exploration et l’exploitation qu’ils veulent réaliser sur notre territoire. Plusieurs bébés sont morts, et cela, équivaut à tuer notre communauté. Depuis janvier, il n’y a que des larmes et l’espérance de la “Consultation des Peuples”… Que l’humanité empêche l’entreprise et les militaires, que notre décision soit respectée !”, indique Remelina Bailarin