La Commission de Justicia y Paz a été informé de l’existence d’un plan, de type paramilitaire, visant l’assassinat de l’un de leurs membres, Fabio Ariza. Suite aux tentatives d’attentats contre sa personne, le défenseur de droits humains a dû quitter la région du Bajo Atrato où il accompagnait, depuis plusieurs années, les communautés afro-descendantes reunies au sein des Zones humanitaires du Jiguamiando et du Curvarado.